Quand consulter un psy ?
Aujourd’hui la psychothérapie se banalise et les mentalités évoluent. Donc nous n’avons plus besoin de sombrer dans la folie pour consulter un psychothérapeute. Cependant à l’ère de la technologie où nous croyons communiquer (internet, téléphonie et autre médias), et parce que le noyau familial se dissous dans la course à tout faire, nous disposons de moins en moins de temps pour se retrouver, s’écouter, et pour être entendu et compris sur notre mal être.
Alors qu’il n’est pas bon de se montrer faible, là ou règne la compétitivité, la rivalité, la concurrence, nous nous retrouvons de plus en plus isolé. Pour cela, nous avons besoin de personnes entièrement disponibles qui sauront nous recevoir et nous comprendre sans nous jugés. Et seul un psy compassionnel et empathique peut vous accueillir dans cette recherche d’aide et d’accompagenment.
Consulter, ce n’est pas attendre d’avoir utliser toutes ces ressources d’auto - défenses, de croire que vous pouvez vous en sortir seul, et de minimiser les tensions relationnelles. C’est prévenir les risques de rechuttes quand l’énergie est au plus bas, et que votre moral est en berne depuis trop longtemps, que vous souffrez de comportements inadaptés et d’émotions négatives qui nuisent à votre entourage. C’est encore quand vous vous sentez limités dans ce que vous faites, que vous avez tous pour être heureux(se) et que vous ne l’êtes pas.
Quand vous ne ressentez plus la joie de vivre, et moins de passions dans ce vous entreprenez, et que votre sexualité s’espace de plus en plus pour devenir quasi néante... Alors, aidez-vous ! en faisant cette démarche vers un praticien expérimenté. Vous aidez, c’est aussi vous aimez, parce que vous respecter votre corps, et votre personne. AYEZ CONFIANCE en vous !
Maintenant définissons les signes avant coureurs et récurrents de divers symptômes !
(douleurs physiques, stress) maux de dos, migraines, constipation, douleurs articulaires… (Troubles de l’humeur et du comportement), anxiété, agressivité, négativisme, tristesse, prise de poids, fatigue, (troubles affectif), solitude, infidélité, inhibition sexuelle… (Addiction), tabagie, alcoolisme.
Bien que nous ayons un système immunitaire qui permet d’enrayer la maladie et des mécanismes de défenses psychologiques, il arrive que le corps suivit du mental ne puisse plus faire face et nous décompensons dans les pathologies qui suivent ;
(Dépression, crises d’hystérie, diverses phobies et obsessions multiples avec ses idées obsédantes et ses actes répétitifs (TOC), paranoïa, délire hallucinatoire.
Exemple : une anxiété qu’on banalise avec des antidépresseurs où des comportements d’évitement se traduit par une anxiété qui se généralise pour devenir une phobie. Elle se transforme aussi souvent en angoisses chroniques avec sa cohorte de symptômes ; (attaques de paniques, paranoïa.)
Bien que nous retrouvons une grande partie de la symptomatologie de l’adulte chez les enfants et les ados, il serait nécessaire de consulter quand vous percevez chez vos enfants certains signes tels que.
L’enfant
Le repli sur soi, une hostilité envers un des parents, un retard mental et des difficultés scolaires constantes, des peurs où des angoisses infondées…
Il faut savoir que l’enfant passe par un stade de développement très important entre zéro et sept ans. Si l’enfant est soumis à des difficultés durant cette période, il pourra développer certaines pathologies à l’adolescence.
L’adolescent
L’ado en pleine mutation psychophysiologique se trouve aussi confronté à des angoisses existentielles. Il se heurte à ses parents pour devenir autonome, se cherchera une identité à travers certains groupes sociaux etc. Ce qui au demeurant est naturel, peut devenir vite compliqué dans la mesure où l’environnement est austère et les parents se sentent impuissants face à ;
Une forme de mutisme, la toxicomanie, l’agressivité, les fugues, la délinquance…
INDICATION :
Quel que soit l’intervention ; soutien psychologique devant une difficulté ponctuelle ; une thérapie brève ou longue, du dévelloppement personnel "coaching " Le premier entretien permet de vous proposer une méthode de travail adaptée à vos besoins. Nous définirons ensemble les moyens qu’il faut mettre en oeuvre afin que vous atteignez tous vos objectifs.
La durée de la thérapie ou du soutien psychologique dépendra du rythme des séances, de votre motivation et de votre implication pour votre bien être.
Voici une énumération non exhaustive des troubles que je traite à partir de mes compétences et de techniques qui apportent des résultats considérables sur la guérison et l’évolution de mes patients.
Nous trouvons les symptômes ou les troubles suivants ;
CLASSIFICATION DES TROUBLES
Anorexie, boulimie, prise de poids, compulsion alimentaire
Addiction (tabac, alcoolisme, drogue, jeux sur PC…)
Agressivité, timidité, négativisme
Anxiété, angoisses, attaques de paniques, phobies
Conflits affectifs (conjoint, enfant, relationnel, peur de l’engagement…)
Confiance en soi (manque de)
Dépressions (réactionnelles, post partum, saisonnière et autres)
Deuils, séparation (savoir lâcher prise)
Sexualité (inhibition, obsession, perversion)
Névroses hystériques, obsessionnelles, phobiques
Somatisations polymorphes
Traumatismes (viol, agressions, accident, maladie)
Psychoses hallucinatoires chroniques, confusion mentales, accès maniaque où manies aiguës, accès mélancoliques…
Pathologies dans le vieillissement (Alzheimer, dégénérescence neurologique etc.)
CONSULTER UN PSYCHOTHERAPEUTE COACH
Consulter un psychothérapeute coach est essentiel pour le consultant qui désire se libérer de ses blocages tout en étant accompagner pour développer son potentiel et accroître l’abondance à tous les niveaux. Il vient consulter avec enthousiasme parce qu’il en ressort plus aguérrit et plus affirmé qu’il ne l’aurait été. Le psychothérapeute libère les entraves à l’épanouissement et le coach lui donne les moyens d’atteindre ses objectifs avec des outils précis et mesurables qui lui procure une confiance inébranlable. Le patient apprend à penser en "homme, femme" d’action et agit en" homme femme de pensée" ; C’est parce que en agissant et en se dépassant que le consultant se sent mieux et plus sur de lui.
Le psy s’occupe particulièrement du "pourquoi" la personne va mal, et le coach s’intérese au "comment" il faut faire pour atteindre les buts que le consultant s’est fixé. Une alliance se créée avec le patient qui sera basée sur l’empathie, l’encouragement, la confiance, et l’accroissement de la volonté... En effet il n’est pas rare de recevoir des patients confrontés au mutisme du psy et déçus de cette distance, qui viennent maintenant consulter des psychothérapeutes qui s’investissent pour eux dans un rapport plus authentique et plus humain, que dans une forme de dépendance analytique.
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